Anonyme

« On a l’impression quelquefois de se sentir seul avec sa maladie. On fait le maximum vis à vis de ses proches pour qu’ils vous voient en forme. Et puis un jour, on vous annonce qu’il existe un donneur. On a du mal à croire à sa chance et on se met à rêver sur ce qu’on pourra faire avec ses enfants. On a envie plus qu’avant de profiter de la vie. Une personne dans le monde m’a permis ce rêve. »